«La souveraineté ne se partage pas sinon elle est bientôt détruite» | «Un pays souverain doit avoir sa langue nationale endogène officielle et de travail, sa monnaie et pouvoir protéger son peuple et ses richesses.»

FRONT SOUVERAIN. Parlons par les images. Vidéo: Il faut un pont pour PLADJI, pour TOUHOUÊ AKANTOMIN, pour GANGBAN, etc.....

Parlons par les images, «bientôt notre Pays sera un petit Paris». C'est le gouvernement et ses klébés qui nous le promettent.

Quand-est ce que ce gouvernement va arrêter de nous mentir ? De faire de la pure propagande ? A l'instar du gouvernement précédent de YAYI BONI «yinwêêê»?

● le village en reportage dans cette vidéo ressemble, comme deux gouttes d'eau, à son homologue Tohouê Akantomin. Il est coincé entre le fleuve ZOU et le fleuve OUÉMÉ. C'est la croix et la bannière pour accéder à ce village, même à pied ! Pour ne pas dire si vous avez un vélo ou une moto. La voiture est exclue, si vous venez de Gangban, l'autre village en face, situé sur les bords du fleuve OUÉMÉ.
● Quand on dit «développement», il doit être harmonieux. Il doit être généralisé sur l'ensemble du territoire. Il doit prendre en compte un certain nombre de secteurs vitaux (infrastructures, énergie, éducation, santé...) et profiter équitablement à l'ensemble du Pays. Sinon, le FRONT SOUVERAIN dit que c'est du développement KPAYO, à la place d'être un développement authentique.
● depuis 1960, ces villages enclavés par nos généreux cours d'eau, ainsi que leurs habitants, ont besoin de ponts. Ce sont ces villageois qui nourrissent nos citadins des villes. Par exemple, ceux de Touhouê Akantomin, Gnangban etc....déversent toutes sortes de produits vivriers sur des entrepôts à WAOUNDO, à Porto-Novo.
● le développement ne doit pas concerner que quelques villes. D'ailleurs, ce n'est que quelques rues de villes. le développement ne doit pas mimer Paris, Londres, ou Pékin. Car, nos compatriotes ont-ils envie de vivre dans Paris, Londres, Pékin ou ailleurs ? Non ! Ils ont envie de vivre chez eux sur leurs terres.
Les gouvernants doivent donc arrêter de mentir à leurs peuples, en agitant des miroirs aux alouettes.

Il faut un pont de GANGBAN à TOUHOUÊ AKANTOMIN. Il faut des ponts pour les riverains de nos grands fleuves nourriciers.

Djomaïxa.
13juin2019