«La souveraineté ne se partage pas sinon elle est bientôt détruite» | «Un pays souverain doit avoir sa langue nationale endogène officielle et de travail, sa monnaie et pouvoir protéger son peuple et ses richesses.»

NOUS DEVONS PASSER PAR LES ASSISES NATIONALES

NOUS DEVONS PASSER PAR LES ASSISES NATIONALES



Or, Éric HOUNDÉTÉ et le parti LES DEMOCRATES charment un électorat non averti pour aller aux urnes les yeux fermés.



<< Contrôler le piège de la Rupture et pousser TALON dans son propre piège en 2026 >> pour paraphraser Eric HOUNDÉTÉ.



Piège contre piège, c'est le piège abscon dans lequel YAYI Boni et son clan (Eric HOUNDÉTÉ, Alassane TIGRI et autres ATCHADÉ) maintiennent les beninois depuis 2018 (dès leurs désolidarisation pour aller à la conformité avant d'être exclus des élections en 2019).



 Ce piège abscon, c'est participer aux élections d'une dictature, quoi qu'il arrive, avec le faux espoir de gagner.



On ne bat pas un caïman dans son marigot.

On n'affronte pas un ennemi sur son terrain de prédilection ici: << la ruse et la rage >> 



Eric HOUNDÉTÉ est en train de nous faire croire que toutes les réformes mises en place, pendant bientôt 10 ans, par TALON, c'est pour faire "joujoux" en 2026 !



Et Eric HOUNDÉTÉ ne s'étonne pas, lui-même, que la Cour Constitutionnelle lui affirme, d'ores et déjà, que le nouveau code électoral est conforme à la Constitution en tout point 🤷🏽‍♂️.



Cher M. HOUNDÉTÉ,

le piège des 20% n'est qu'un artefact parmi tant d'autres, dans la caisse à outils du pouvoir de TALON. 


Il n'existe aucun moyen de contrer un pouvoir dictatorial dont la gestion est opaque, et "gagner" contre lui dans les urnes. 


Sinon, au moins un virus peut attaquer les ordinateurs de la CENA afin de corrompre les résultats des urnes !


 Rappelez-vous des "fautes mineures" et des "fautes majeures".


Ça peut être aussi un État d'Urgence pour "protéger" le pays contre des déstabilisateurs de l'intérieur ou venus de l'extérieur 🤷🏽‍♂️



 Ce discours de Éric HOUNDÉTÉ, sûr de lui, de pouvoir pousser les partis de la Mouvance dans leur propre piège en 2026, est donc un leurre. 



C'est traité son adversaire de peu d'intelligence et de le lui déclarer.



C'est juste une stratégie de communication du parti LES DEMOCRATES pour amener nos populations à participer aux élections exclusives de 2026.



C'est exactement comme le discours contre la chaise vide de Alassane TIGRI (cf: sa récente sortie)



C'est la stratégie que pratique YAYI Boni et son clan depuis 2018, à savoir s'adapter aux lois scélérates de TALON et en vivre.



Cette stratégie leur permet, même en cas d'échec aux élections, d'être toujours les "seconds couteaux" du pouvoir de la Rupture, afin de maintenir leurs salaires politiques, pendant que les problèmes profonds du pays ne sont pas résolus.



Sinon, qui, de Eric HOUNDÉTÉ, ATCHADÉ, ou même l'un des fils de YAYI Boni, (Chabi ou autres, si nous voulons un règne dynastique) est capable de diriger le Bénin demain après TALON ? 



Aucun n'a même pu incarner le parti LD que YAYI leur a créé (avec la bénédiction de TALON !). Ils ont dû faire appel au vieux pour reprendre la tête du parti. Alors, qu'en sera-t-il d'un État ?



Et si le parti LD pousse la Rupture dans son piège et gagne en 2026, est-ce YAYI Boni qu'ils vont nous exhumer pour gouverner, de nouveau, le Bénin ?



(TALON et YAYI, de connivence, dirigent déjà le Bénin depuis 2006, avec les résultats que nous connaissons tous !)



 Ou bien, pour faire sensation et semer la confusion, ils nous sortiront, au dernier moment, de leur chapeau de magicien, un "nigus bêtus" politique, pour tromper les peuples ?



Les béninois s'éveillent aux jeux politiques de la vcpt (vielle classe politique traditionnelle) du Bénin, et même si le jeu néocolonial combiné de TALON-YAYI-France réussi pour nous imposer un Président en 2026, celui-ci ne pourra pas diriger le Bénin pour les dix prochaines années, sans une répression féroce , sans de lourdes déconvenues politiques qui se solderont par plus d'affaiblissement de notre pays.



Il n'y a qu'à constater que TALON, lui-même, est déjà à bout de souffle avec:



• une gestion opaque, peu transparente,


• la corruption qui gangrène le pays à tous les niveaux,


• les détournements insidieux, à travers les grands travaux,


• la gabégie récurrente, non maîtrisable,


• l'injustice et l'arbitraire décomplexés


• le panier de la ménagère, jamais garantie en bientôt dix ans,


• un surendettement jamais égalé,


• une économie à un seul poumon qui trouve sa victime expiatoire dans les sojaculteurs, la fermeture des frontières, ou l'exploitation des jeunes travailleurs de GDIZ


• le manque flagrant de soins de santé à la population,


• l'école, définitivement à genoux. Au point où TALON a isolé les enfants des siens et des très riches dans un bunker éducatif appelé " École Pierre Manoel TALON",


• La fuite des cerveaux, par désespoir, le sous-emploi, et le chômage,


• le manque de confiance persistant, la trahison généralisée et les prisons qui se remplissent par la BEF et la CRIET,


• l'insécurité terroriste qui s'installe maintenant à nos frontières etc...etc...



Notre pays, depuis 1960, est comme une maison menacée d'effondrement et soutenue par des étais (étais = les gouvernements successifs).



• Soit nous sommes courageux, et enlevons intelligemment les étais pour rebâtir le pays, comme les pays de l'AES l'ont commencé, bon an mal an,



• Soit la maison finira par s'effondrer sur nous tous, à force de lui administrer des soins palliatifs, comme à un malade mourant.



Ce que projettent de faire en 2026, les partis politiques du Camp néocolonial (UPR, BR, FCBE, LD et consorts), avec leurs dirigeants de la vcpt



Sinon, êtes-vous sûr que c'est:


==> Éric HOUNDÉTÉ,


ou l'un des siens; 


==> Josèphe DJOGBENOU;


ou l'un des siens; 


qui sera en mesure de redresser le Bénin après 2026 ?

 


Le Bénin, comme d'ailleurs tous les pays francophones de l'Afrique Sub-saharienne, sont dans un système obsolète de gestion néocolonial.

 


Nos élites de la vcpt doivent avoir le courage de le reconnaître, pour cesser d'être les freins aux Progrès en Afrique.

 


L' Afrique a besoin de se reconstruire, après 600 ans de traumatisme esclavagiste, colonial, et maintenant néo-colonial.



Le Bénin à besoin des ASSISES, pour réfléchir calmement à sa situation, dans un contexte mondial versatile et en basculement.



Depuis 2016, le FRONT SOUVERAIN appelle à la CPN (Conférence Patriotique Nationale) pour la Vision LMA:


- notre LANGUE


- notre MONNAIE


- notre ARMÉE,


Armée Continentale Dotée de son Industrie (ACDI).



Voici la proposition du FRONT SOUVERAIN pour rebâtir notre Maison-Commune le Bénin :



1. rassembler autour du mot d'ordre:



" LES ÉLECTIONS, OUI !"


"LES ASSISES, D'ABORD !"



2. le parti LES DEMOCRATES doit sortir de ses flatteries aux peuples, et organiser ce rassemblement avec toutes les tendances politiques du Bénin. Le FRONT SOUVERAIN y compris, ainsi que les compatriotes sincères et dissidents de la Mouvance.



3. établir, par ce rassemblement, le Contenu du consensus national. Une sorte de Mémorandum, âme de la Conférence Patriotique Nationale qui va se tenir.



 4. Ce Contenu sera présenté au Pouvoir de la Rupture pour l'inviter à participer aux Assises.



• si le Président TALON refuse, les peuples aviserons depuis les Assises.



• Si le parti LES DEMOCRATES refuse cette alternative, c'est que ses dirigeants auraient choisi d'aller partager le pouvoir politique et économique avec TALON et son clan. Ainsi, en 2026, leur masque tombera.



Nous espérons que l'un et l'autre (TALON & YAYI) accepterons l'alternative pour sauver la Paix et mettre notre pays sur la voie du Progrès, ici et maintenant.



Djomaïxa CODO


Porte-Parole


FRONT SOUVERAIN


24mai2025